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Le Livre de la Première Lumière
[[pnjs:camille|Camille]] retourne à l'[[lieux:hospice|hospice]] et est accueilli par un gardien fervent de la Flamme, qui lui demande de réciter le '[[objets:livre_de_la_premiere_lumiere|Livre de la Première Lumière]]', révélant une vision profonde de la création et de la nature du mal.
- Le gardien, reconnaissant Camille comme un frère, lui demande de réciter le 'Livre de la Première Lumière'.
- Camille commence la récitation, décrivant le grand vide inachevé avant la création, la stagnation et l'indifférence.
- Le texte évoque le chaos comme l'oubli et la force qui délie ce qui devrait être uni, et la ténèbre comme la fin de toute volonté.
- Il définit le mal véritable non pas comme la haine, mais comme le froid, le refus de l'autre, l'âme repliée sur elle-même.
- Le gardien, visiblement ému et inspiré, interrompt Camille, lui demandant de continuer le lendemain, et l'envoie au travail avec une serpillère, symbolisant l'humilité et le service.
- Le gardien mentionne que la Flamme a donné une serpillère, faisant référence au Chapitre 3, verset 19.
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